28 juillet 2011
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Nos premiers adieux manquèrent d’être grandioses dans la débauche, ils auraient été parfaits si seulement j’avais su.
Hélas, il y eu des retrouvailles et d’autres séparations, embrumées de colère.
Et puis, nous en vinmes aux presque retrouvailles, aux rendez-vous manqués et aux mots qui cachaient la vérité.
Enfin, il y eu un silence qui termina une si brève conversation à propos d’un service que je ne pouvais te rendre.
Je sais maintenant que ce silence, si récent pourtant, ne finira plus.
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