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1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 10:00

Il est présomptueux de reprendre un titre comme celui du grand Charles. Non, pas le général, le poète, Charles Baudelaire. Alors, je n’ai pas pris « spleen », j’ai joué, comme un vulgaire traducteur automatique, à remplacer ce mot qu’il n’avait pas pu traduire et qu’il avait préféré conserver faute d’en trouver un équivalent correct et qui, par lui, est passé dans la langue française. Cer c’est bien de spleen qu’il s’agit ici.

 

Ma rate de Paris, ce sont des textes qui me viennent parce que je suis dans cet état de spleen, absent de ce monde qui m’entoure, où je suis encore parce qu’il le faut bien mais où je ne suis plus.

 

Les textes:

 

Une rue

Lettre à ne pas envoyer

Une même rue

L'affiche

Mars

Lundi

An ou pas ?

La fête perdue

Blessure

Marrons

Ephémère résurrection

Mouvement

Soubresaut

Longueur

Jardins

Derniers adieux

Brumeuses

La mort des hortensias

Réminiscence

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