Je sais bien que ça ne va pas trop passionner les foules ici mais voilà, il faut bien l'écrire quelque part puisque c'est ce que je ressens, là, maintenant. Bruno Metsu fut connu comme joueur de foot, à Valenciennes, à Lille et un peu ailleurs. D'autres...
" Si vous n'avez pas mal quelque part, inutile d'écrire." Paul Morand C'est la petite rafale de tweets quotidienne de Bernard Pivot qui m'a proposé cette citation. Paul Morand, celui de "l'homme pressé", lu il y a maintenant si longtemps que je l'ai presque...
Aujourd’hui, pas de souvenirs, pas de nostalgie et donc pas de mots qui viennent croiser et s’échouer. J’aurais pu laisser ma colère s’exprimer, écrire tout le mal que je pense d’Aéroport de Paris, de CDG, cher et aussi peu pratique pour les passagers...
Finalement, j’y suis allé. Je le croyais inaccessible, je me trompais. En été, il surplombe la berge, il faut emprunter un escalier pour y accéder et ensuite un autre pour remonter, si l’on veut, sur le quai retrouver la ville et son vacarme. Mon banc...
Tiens un petit salut amical au "coucou du haïku" entre deux réunions, à l'heure où en principe le rêve n'est pas bienvenu... L'épice est poivré Vert, rose, blanc ou encore noir Mais vert est l'amour Crocus est sorti Puis a fané au jardin Safran ne se...
Petit arbre en fleurs Tout blanc avant d'être vert Un hiver s'en va C'est un arbre en pot Qui a poussé au hasard Qui rit du printemps
Papier délaissé De vos nouvelles trop anciennes Je construis mon deuil Coucou du haïku qui revient...
C'est pour le parti Camarade du premier mai Et je prends l'Huma Une touffe de muguet A pris la place du bonsaï Qu'a rêvé la fée Clochettes ou roulettes Pauvre fée perdue qui rêve D'un envol en mai Et voilà ma petite contribution au coucou du 1er mai....
Ce matin, je fus laissé dubitatif par les mots et l’image qu’un lien reçu me fit découvrir. D’abord, j’ignorai ce que je vis. Une eau doucereuse Oublie un corps juvénile Qui trouble les yeux L’envie capiteuse De la femme mystérieuse Est-elle si curieuse...
Le lys prisonnier Estampe de taches brunes Ma page trop blanche Coucou du haïku 45 (désolé d'être encore morose)
Pauvre chevalet Finira-t-il donc au feu Oublié de tous ? Heureux chevalet Trouvera-t-il donc le feu De nouveaux pinceaux ? Contribution au coucou 41
Nous lèverons l’ancre Dans un pays de cocagne Nous jetterons l’ancre Sentiment ancré Dans la force de l’été Du besoin d’hiver Ancre sympathique Qu’on jette et lève au hasard Et ancre de Chine Ancre de marine La mer recueille les rivères De mes chères...
Petite contribution au coucou du Haïku de ce vendredi sur le thème : Au soleil de mai (robiniers. Et comme un robinier est le plus vieil arbre de Paris: Quatre cents printemps Du haut de ces robiniers S'offrent aux rêveries
Une cabine perdue Qui penche comme une tour à Pise Résiste à la bise La cabine aimait Son poteau qui se faisait Bel indifférent Petite contribution au coucou du haïku du 22 mars
Eh bien voilà, je me retrouve avec plusieurs brouillons et rien que j'aie envie de publier. Le post sur les tutelottes attendra donc. Sous bois au printemps Un tapis de tutelottes Nos songes ouvrira
Au carrefour de l'arbre Souvent le printemps décide D'être encore absent Murs de brique rouge Précédant les hirondelles C'est Paris Roubaix
Bien sûr, ce serait un peu facile, on pourrait citer Kawabata en jouant sur la belle endormie. Mais alors, où serait l'orange. On pourrait aussi foncer sur le bleu de la terre, bleue comme une orange. Mais alors où serait la couleur? Une belle endormie...
Encore un défi du coucou du haïku: l'anniversaire. L'onomatopée Va récolter le succès C'est le pif paf pouf Trois trente ou trois cents Qui sait en réalité Ce que l'on comptait C'est déconcertant Inspiré pas inspiré La pie fait son nid
Eh bien là... Lever de rideau Les tilleuls entrent en scène Avant le muguet Azay le Rideau Vient relever le défi En plein renouveau
Balafon matin La calebasse chante au soir Au village qui dort
Thème : on chine au vide grenier Quiconque aime la chine Au temps du nettoyage Cherchera bonne pâte Près du débarras Chiner au temps des cerises Trouver un trésor Les amis de Georges Trouvèrent une guitare Et s’enfuirent au ciel
"Partir" rejoindre le coucou ? Partir ou mourir Je sais elle était facile L'été sur la route Ben voilà, il dort le Lyonnel en ce moment. Pas une raison pour oublier de souhaiter un bel été aux habitués du rendez-vous hebdomadaire du haïku.
Thème: que d'eau que d'eau L'arbre s'est noyé Se mire dans la flaque immense Où est la grenouille Quel vilain printemps Dans l'eau se mire le coucou Ecoutant le floc
Mignonne, allons voir...
Bon, c'est le mois de septembre, il faut reprendre...
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